Cet été, Olivier REGIS, conseiller municipal de droite a perdu son dernier combat. Le Conseil d’Etat a confirmé le rejet de son recours contre le résultat des élections municipales de mars 2014 qu’il a été jusqu’à qualifier, « d’un des plus grands scandales électoraux que notre pays ait connu ». Battu déjà en mars 2008, il acceptait encore moins de l’être à nouveau en 2014. Et comme à son habitude il préférait la calomnie au respect du choix des Bezonnais.
Mais Bezons, pour Monsieur Régis, c’est plutôt Waterloo. En effet, cette défaite devant le Conseil d’Etat vient s’ajouter à une condamnation pour défaut de compte de campagne, à une convocation au commissariat pour vol de matériel municipal, à une défaite aux législatives de 2012, à des échecs cuisants aux élections municipales de mars 2008 et mars 2014, à un troisième aux élections départementales d’avril 2015. Il a également été débouté par les tribunaux de son recours contre la construction de notre nouvelle mairie, et il vient d’être condamné pour diffamation envers un agent de la ville.

Pas facile à avaler la mixture de Monsieur Régis. Les Bezonnais ne s’y sont d’ailleurs et heureusement pas laissés prendre !
Cet empilement de défaites et de condamnations est l’aboutissement de la carrière politicienne d’un homme, qui ne nourrissait ses discours que de démagogie, de calomnie et de mensonges, n’hésitant même pas à exploiter des situations humainement difficiles de certains Bezonnais. Un homme prêt à toutes les machinations pour se faire une notoriété. Un comportement à ce point détestable, que cinq des sept élus du groupe qu’il présidait, ont décidé de faire scission. Une rupture rendue publique en Conseil municipal du 17 juin dernier par la lecture, faite par ces mêmes élus, d’une longue liste de griefs dont celui, révélateur, de tout décider seul !

Depuis qu’il a été parachuté sur Bezons en 2008, O.Régis cumule 9 condamnations et échecs devant les tribunaux et les urnes. Ce qui fait plus d’un par an !