La Poste, depuis 2010, est sous statut de société anonyme (SA), mais l’État reste néanmoins actionnaire principal à hauteur de 77,1 %. Pour autant la situation tant pour le personnel que pour les usagers ne cesse de se dégrader. La notion de service public devenant « peau de chagrin ». Bezons n’est pas épargnée. Je viens de faire part de mon mécontentement et de celui des Bezonnais à la direction régionale et au directeur de la Poste centrale de notre ville.

A cette orientation nationale visant à supprimer ces boîtes aux lettres s’ajoute la raréfaction des boîtes relevées après 13 heures. Les deux « facteurs »boîtes et levées supprimées participent d’une nouvelle dégradation du service rendu aux usagers.
Outre les fermetures de bureaux déjà effectuées et les milliers d’autres déjà programmées pour les trois prochaines années, on assiste aussi à des suppressions de boîtes aux lettres de rues, sans concertation des élus ni des habitants. C’est le cas à Bezons. Deux ont disparu de Bezons depuis plus d’un an dans les quartiers Jean-Jaurès et de l’ancienne mairie. Celles-ci devaient être remplacées, comme l’engagement en avait été pris. Or, à ce jour, toujours rien !

Dans ce courrier j’ai également demandé une réunion afin de faire un point sur la réorganisation de la Poste sur Bezons et en particulier sur la pérennité du bureau du Grand-Cerf.